L’abus d’alcool est dangeureux pour la santé, à consommer avec modération. La vente d’alcool est interdit aux mineurs.
31 Boulevard Pasteur, 27500 Pont-Audemer
Ouvert du Lundi au Samedi
9h15 - 12h30 / 14h30 - 19h
On ne saura probablement jamais à quel moment de son histoire, l’homme commença à boire du vin. Plus de cinq mille ans, assurément. La bière et le cidre étaient alors connus déjà depuis longtemps, de même que le pain et le formage, les plus fidèles alliés du vin.
Cela prouve que l’élaboration d’un breuvage, à partir du sang de traille, n’étaient pas une affaire de primitifs et qu’il fallait avoir atteint un certain degré d’évolution pour s’adonner avec succès à la vinification.
Comme toutes les grandes œuvres humaines, la découverte du vin est revendiquée par la plupart des civilisations de l’époque et du lieu présumées de son apparition. Les Égyptiens l’attribuent à Osiris, les Arméniens à Noé et les Grecs à Dionysos, le Bacchus des Romains, cette divinité rêveuse et gourmandes qui enlumine nos ouvrages dur l’Art du Vin…
Certes, on a retrouvé des pépins de raisins dans des grottes préhistoriques, et de là à concevoir que le vin est plus vieux que l’histoire, constitue un pas que certain franchissent peut-être étourdiment. Car il est vraisemblable que l’homme des cavernes, soucieux de sa nourriture quotidienne, picorait le raisin frais cueilli dans l’instant, mais qu’il n’avait guère le loisir ni le temps ni l’idée, de le stocker et de le laisser fermenter.
Vin le plus vieux du monde, fut connu des Sumériens. Premier décret sur les appellations d’origines contrôlées
Egypte – Elaboration des vins funéraire
Chine – En buvait déjà
Code d’Hammouarbi, réglementation de l’achat du vin
Selon Horace, le Maréotique était le vin favoris de Cléopatre. Le Taniotique, verdâtre, onctueux était réputé supérieur
Même si des vignes existaient depuis quelques siècles sur notre sol, ce sont les Romains qui ont organisé nos principaux et plus prestigieux vignobles.
Les Gaulois, Celtes farouches et solides buveurs de cervoise imaginèrent la conservations en fut de chêne.
De tout temps, nos rois portèrent intérêt aux vins de France. Henri IV possédait un vignoble de Jurançon, bon nombres de Paris ainsi que ceux d’Orléans…
Le chemin de fer arrive à point pour transporter depuis le midi, le vin en suffisamment grande quantité. Le Languedoc-Roussillon va gagner en réputation.
La Phylloxéra ravage les trois-quart des cépages français. Gréffé sur des plants américains, bénéficiant des découvertes de Pasteur, des personnages comme Baron Le Roy s’oganisent pour sauver le vignoble français
